À vrai dire on utilise les pierres depuis que l’homme s’interroge sur lui-même depuis qu’elle est capable d’établir une relation entre lui et le minéral.
C’est grâce aux civilisations africaines, chinoises, sumériennes, égyptiennes, grecs ainsi que les civilisations romaines chrétiennes que les pierres en tant qu’outil de soins ou de pierres sacrées ont tracé principalement leurs histoires.
C’est ensuite à travers l’oeuvre de Hildegarde de bringen que les recherches de l’évêque et alchimiste Saint-Albert sont rendus publics en rapport avec les bienfaits des plantes que l’on connaît également sous le nom de phytothérapie le pouvoir de se guérir avec les plantes.
Les alchimistes du 14e siècle publient différents traités scientifiques à leurs propos c’est en 1644 que paraît un livre de référence sur l’usage des pierres pour la santé et que l’on utilise pour la première fois le terme de lithothérapie. Le parfait joallier ou Histoire des pierrerie 100 ans plus tard a été suivi par de nombreuses recherches en Chine de l’époque. Par la suite les minéraux apparaissent comme l’un des trois piliers de la pharmacopée entre les végétaux et les animaux.
Même si les minéraux sont encore présent en 1935 comme officiellement actif pour la santé à travers certains ouvrages, la Première guerre mondiale ainsi que la révolution des produits chimiques industriels vont faire décliner la continuité des recherches sur les pierres ainsi que les minéraux en tant quotidien.
Et bien pour cela il faudra attendre le mouvement du New age dans les années 1960 aux États-Unis ce mouvement d’illusion ésotérique a malheureusement éloigné le minéral de sa simplicité d’utilisation et d’action. Dès lors cela aura créé une aura de confusion aujourd’hui ce sont les Européens qui redonnent leur lettre de noblesse aux pierres et cela se propage à nouveau un peu partout.
